1984 de George Orwell
Résumé
Année 1984 en Océanie. 1984 ? C’est en tout cas ce qu’il semble à Winston Smith, qui ne saurait toutefois en jurer. Les guerres nucléaires ont divisé le monde en trois blocs : l’Eurasia, l’Estasia et l’Oceania. Le passé a été oblitéré et réinventé, et les événements les plus récents sont susceptibles d’être modifiés. Winston, employé du ministère de la Vérité, est chargé de récrire les archives qui contredisent le présent et les promesses de Big Brother. Ce dernier est à la tête de l’Oceania, société totalitaire dominée par la surveillance, le mensonge et la manipulation. Grâce à une technologie de pointe, ce dernier sait tout, voit tout. Il n’est pas une âme dont il ne puisse connaître les pensées. On ne peut se fier à personne et les enfants sont encore les meilleurs espions qui soient. Liberté est Servitude. Ignorance est Puissance. Telles sont les devises du régime de Big Brother. La plupart des Océaniens n’y voient guère à redire, surtout les plus jeunes qui n’ont pas connu l’époque de leurs grands-parents et le sens initial du mot « libre ». Winston refuse cependant de perdre espoir. Il entame une liaison secrète et hautement dangereuse avec l’insoumise Julia. Un jour, Winston va finir par comprendre les pratiques douteuses du Parti… Mais Big Brother veille…
Critique
Il me semble que cela fait maintenant une dizaine d’année que j’ai lu ce livre, il est donc difficile pour moi de vous donner un avis détaillé. Une chose est sur, je ne peux que vous le conseiller ! Ce livre fait vraiment réfléchir sur la société d’aujourd’hui. Après lecture, je me souviens avoir douté du monde dans lequel on vit, tellement Orwell était proche de la réalité du futur ; on relie facilement des faits de notre société à ceux cités dans le livre. C’est « 1984 » qui m’a donné envie de lire des romans plus classique alors que j’étais dans une phase « jeune adulte ».
Citations
» Ne voyez-vous pas que le véritable but du novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? À la fin, nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer. »
» A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. «
» J’ai beau savoir que le passé est falsifié en permanence, je ne pourrai jamais le prouver. «